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Améliorer la rentabilité des entreprises publiques en Afrique : défis et opportunités

Les entreprises publiques constituent depuis des décennies l'épine dorsale du développement économique africain, incarnant la volonté des États de contrôler les secteurs stratégiques et d'orienter la croissance selon des objectifs nationaux. Du Sénégal au Kenya, du Nigeria à l'Afrique du Sud, ces entités étatiques gèrent des pans entiers de l'économie : énergie, télécommunications, transports, mines, eau et assainissement. Pourtant, force est de constater que la majorité de ces structures souffrent d'une rentabilité chroniquement défaillante, grevant les finances publiques et compromettant leur mission de service public. Les déficits récurrents, l'inefficience opérationnelle, la mauvaise gouvernance et l'obsolescence des systèmes de gestion constituent autant de maux qui affligent ces organisations censées catalyser le progrès socio-économique du continent.

La question de l'amélioration de la performance financière des entreprises publiques africaines ne relève plus d'un simple débat académique, mais d'une urgence stratégique impérieuse. Dans un contexte de raréfaction des ressources publiques, d'endettement croissant et de pressions budgétaires accrues, les gouvernements africains ne peuvent plus se permettre de financer indéfiniment des entités déficitaires qui absorbent des subventions colossales sans produire les résultats escomptés. L'impératif de rentabilité ne signifie nullement l'abandon de la mission sociale de ces entreprises, mais plutôt la recherche d'un équilibre vertueux entre viabilité économique et impact sociétal. Comment donc transformer ces géants aux pieds d'argile en locomotives de développement rentables et performantes ? Quels sont les obstacles structurels qui entravent leur efficacité opérationnelle ? Quelles opportunités le contexte africain contemporain offre-t-il pour renverser cette tendance et construire des entreprises publiques à la fois rentables et au service de l'intérêt général ?

L'analyse approfondie de cette problématique révèle une réalité complexe et multidimensionnelle qui ne saurait se réduire à des solutions simplistes. Les défis sont aussi variés que les contextes nationaux : pesanteurs bureaucratiques, interférences politiques, inadéquation des compétences managériales, sous-capitalisation chronique, technologies obsolètes et absence de culture de résultats. Parallèlement, des opportunités considérables émergent grâce à la transformation numérique, l'accès à de nouveaux outils de gestion innovants, la professionnalisation croissante des cadres africains et une prise de conscience généralisée de la nécessité de réformer en profondeur le secteur public marchand. Le présent article se propose d'explorer exhaustivement ces enjeux, d'identifier les leviers d'amélioration et de tracer les contours d'une stratégie globale visant à restaurer la rentabilité et l'efficience des entreprises publiques africaines, tout en préservant leur vocation sociale fondamentale.

Diagnostic des Défis Structurels

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Les entreprises publiques africaines évoluent dans un environnement particulièrement contraignant qui hypothèque lourdement leurs chances d'atteindre des niveaux de rentabilité satisfaisants. Le premier défi majeur réside dans la gouvernance déficiente qui caractérise la plupart de ces structures. L'absence de conseils d'administration véritablement indépendants, la nomination de dirigeants sur des critères politiques plutôt que méritocratiques, et l'ingérence permanente des autorités dans la gestion quotidienne créent un environnement où les décisions stratégiques sont souvent dictées par des considérations électoralistes plutôt que par la rationalité économique. Cette gouvernance approximative se traduit par des investissements hasardeux, des recrutements pléthoriques sans rapport avec les besoins réels, et une incapacité à sanctionner les contre-performances. Les mécanismes de contrôle et d'audit interne demeurent largement inefficaces, favorisant une culture d'impunité qui nourrit la corruption et les détournements de fonds publics.

La question des ressources humaines constitue un deuxième obstacle considérable à l'amélioration de la performance financière. De nombreuses entreprises publiques africaines souffrent d'un paradoxe troublant : un sureffectif chronique coexistant avec une pénurie aiguë de compétences stratégiques. Les recrutements massifs effectués sans planification rigoureuse ont gonflé les effectifs au-delà du raisonnable, alourdissant dramatiquement la masse salariale sans amélioration proportionnelle de la productivité. Parallèlement, les profils hautement qualifiés en gestion financière, en technologies de l'information, en marketing ou en planification stratégique font cruellement défaut, préférant souvent le secteur privé qui offre de meilleures conditions de rémunération et d'évolution de carrière. Cette inadéquation entre quantité et qualité des effectifs se double d'une formation continue insuffisante, d'une démotivation généralisée liée à des systèmes de rémunération peu incitatifs, et d'une culture organisationnelle sclérosée qui privilégie l'ancienneté sur le mérite et l'innovation.

Sur le plan opérationnel, les entreprises publiques africaines accusent un retard technologique considérable qui grève leur compétitivité et leur efficience. Les systèmes d'information vieillissants, lorsqu'ils existent, ne permettent pas une gestion intégrée des différentes fonctions de l'entreprise, rendant impossible l'obtention en temps réel d'informations fiables sur la situation financière, les stocks, la clientèle ou les performances sectorielles. Cette carence informationnelle entrave toute prise de décision éclairée et tout pilotage stratégique rigoureux. Les processus administratifs demeurent largement manuels, sources de lenteurs bureaucratiques, d'erreurs multiples et de coûts de transaction prohibitifs. L'absence d'automatisation des tâches répétitives mobilise inutilement des ressources humaines sur des activités à faible valeur ajoutée, au détriment de fonctions stratégiques comme l'analyse, l'innovation ou le développement commercial. Cette obsolescence technologique se manifeste également dans les équipements de production, souvent vétustes et énergivores, générant des coûts d'exploitation exorbitants et une qualité de service médiocre qui érode progressivement la clientèle.

La gestion financière approximative représente un quatrième défi structurel majeur. De nombreuses entreprises publiques africaines fonctionnent sans véritables systèmes de comptabilité analytique permettant de connaître précisément la rentabilité de chaque ligne de produits, de chaque segment de clientèle ou de chaque zone géographique. Cette cécité financière empêche toute optimisation de l'allocation des ressources et tout arbitrage rationnel entre investissements concurrents. Les pratiques de budgétisation demeurent souvent rudimentaires, fondées sur la reconduction des budgets antérieurs plutôt que sur une analyse prospective des besoins et des opportunités. Le contrôle de gestion, lorsqu'il existe formellement, ne dispose ni de l'autorité ni des outils nécessaires pour imposer une discipline financière rigoureuse aux différentes directions opérationnelles. La gestion de trésorerie souffre d'une planification défaillante, exposant régulièrement les entreprises à des crises de liquidité qui les contraignent à recourir à des financements d'urgence onéreux. L'absence de tableaux de bord synthétiques et pertinents prive les dirigeants d'une vision claire et actualisée de la santé financière de leur organisation.

Les contraintes réglementaires et institutionnelles constituent un cinquième obstacle non négligeable. Les entreprises publiques africaines évoluent fréquemment dans des cadres juridiques rigides qui limitent leur autonomie de gestion et leur capacité d'adaptation rapide aux évolutions du marché. Les procédures d'achat public, conçues pour prévenir la corruption, se révèlent souvent si lourdes et si lentes qu'elles paralysent l'action et découragent les fournisseurs sérieux. Les grilles salariales uniformes imposées par la fonction publique empêchent d'attirer et de retenir les talents en offrant des rémunérations compétitives. Les obligations de service public non compensées financièrement contraignent certaines entreprises à maintenir des activités structurellement déficitaires sans recevoir les subventions correspondantes. Cette confusion entre logique administrative publique et impératifs de gestion entrepreneuriale crée un carcan qui entrave toute velléité de modernisation et d'amélioration de la performance économique.

 Leviers d'Amélioration et Opportunités Stratégiques

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Face à ces défis considérables, des opportunités substantielles se dessinent pour transformer radicalement la situation des entreprises publiques africaines et restaurer leur rentabilité. La transformation digitale constitue incontestablement le levier le plus puissant de cette mutation nécessaire. L'adoption de systèmes d'information intégrés de type ERP (Enterprise Resource Planning) permet désormais une gestion unifiée de toutes les fonctions de l'entreprise : finances, ressources humaines, achats, stocks, production, distribution et relation client. Ces solutions technologiques, de plus en plus accessibles grâce au développement du cloud computing et à la baisse des coûts de déploiement, offrent une visibilité en temps réel sur l'ensemble des opérations, facilitent la prise de décision fondée sur des données fiables et permettent d'identifier rapidement les sources d'inefficience et de gaspillage. L'automatisation des processus administratifs libère des ressources humaines pour des tâches à plus forte valeur ajoutée tout en réduisant drastiquement les délais de traitement et les erreurs.

La réforme de la gouvernance représente un deuxième axe prioritaire d'intervention. L'instauration de conseils d'administration véritablement professionnels, composés d'experts indépendants disposant de compétences avérées en gestion d'entreprise, en finance ou dans le secteur d'activité concerné, peut transformer radicalement la qualité de l'orientation stratégique et du contrôle exercé sur les dirigeants opérationnels. La séparation claire entre les fonctions d'orientation stratégique dévolues au conseil et les responsabilités de gestion quotidienne confiées à la direction exécutive permet d'instaurer un système de freins et contrepoids salutaire. L'adoption de chartes de gouvernance explicites, définissant précisément les rôles, responsabilités et mécanismes de redevabilité de chaque organe, contribue à clarifier les règles du jeu et à limiter les interférences politiques indues. Le renforcement des fonctions d'audit interne et la soumission régulière à des audits externes indépendants instaurent une discipline de transparence qui décourage les dérives et valorise la performance.

La professionnalisation du management et le développement des compétences constituent un troisième levier essentiel. Le recrutement de dirigeants sur la base de leurs qualifications professionnelles, de leur expérience avérée en gestion d'entreprise et de leurs résultats antérieurs, plutôt que de leurs affinités politiques, peut impulser une dynamique nouvelle. L'introduction de contrats de performance assortis d'objectifs mesurables et de systèmes d'incitation liés aux résultats encourage l'émergence d'une culture de résultats. Les investissements massifs dans la formation continue des cadres et des employés, en partenariat avec des institutions académiques de qualité et des cabinets spécialisés, permettent de combler progressivement le déficit de compétences. La mise en place de programmes de mobilité internationale offre aux cadres africains l'opportunité d'acquérir des savoir-faire et des pratiques managériales innovantes qu'ils pourront ensuite adapter à leur contexte local. La révision des systèmes de rémunération pour les rendre plus compétitifs et plus incitatifs contribue à attirer et à retenir les talents indispensables à la transformation.

L'optimisation de la gestion financière et du contrôle de gestion offre des marges d'amélioration considérables. L'implantation de systèmes de comptabilité analytique sophistiqués permet de connaître précisément la rentabilité de chaque activité, produit ou segment de clientèle, et d'orienter les décisions d'investissement vers les domaines les plus porteurs. L'adoption de pratiques de budgétisation modernes, fondées sur une planification stratégique rigoureuse et sur des prévisions réalistes, remplace avantageusement les reconductions budgétaires mécaniques. Le déploiement d'outils de contrôle de gestion permettant un suivi en temps réel des écarts entre prévisions et réalisations autorise des corrections de trajectoire rapides. La mise en place d'une gestion de trésorerie professionnelle, s'appuyant sur des prévisions de flux financiers fiables et sur une optimisation des encaissements et décaissements, sécurise la liquidité et réduit les coûts de financement. L'élaboration de tableaux de bord stratégiques synthétiques, mettant en exergue les indicateurs clés de performance financière et opérationnelle, dote les dirigeants d'instruments de pilotage indispensables.

La révision du cadre réglementaire et institutionnel peut également débloquer des opportunités significatives. L'octroi d'une plus grande autonomie de gestion aux entreprises publiques performantes, tout en maintenant un contrôle stratégique de l'État actionnaire, leur permet d'adapter rapidement leurs stratégies aux évolutions du marché. La simplification des procédures d'achat public, grâce notamment à la digitalisation des appels d'offres et à l'adoption de seuils différenciés selon les montants, accélère les processus d'approvisionnement. L'autorisation de grilles salariales spécifiques, alignées sur les pratiques du marché dans les secteurs concernés, facilite le recrutement de compétences rares. La contractualisation explicite des obligations de service public, accompagnée de compensations financières transparentes et prévisibles, permet de distinguer clairement les activités commercialement viables de celles relevant d'une mission sociale devant être assumée par le budget de l'État. Cette clarification assainit la situation financière et autorise une évaluation objective de la performance économique réelle.

L'innovation commerciale et le développement de nouvelles sources de revenus représentent un sixième axe d'opportunités. De nombreuses entreprises publiques africaines disposent d'actifs sous-exploités : terrains, immeubles, infrastructures, bases de données clients, qui pourraient générer des revenus additionnels substantiels moyennant une gestion plus entrepreneuriale. La diversification des activités vers des segments de marché à plus forte marge, le développement de services à valeur ajoutée, ou encore la pénétration de marchés régionaux voisins constituent autant de stratégies susceptibles d'améliorer significativement la rentabilité. L'adoption de stratégies marketing modernes, s'appuyant sur une connaissance fine des attentes des clients et sur une segmentation pertinente, permet d'optimiser les politiques tarifaires et d'améliorer les taux de recouvrement des créances. Le développement de canaux de distribution digitaux réduit les coûts de transaction tout en améliorant l'accessibilité des services. Les partenariats stratégiques avec des acteurs privés, nationaux ou internationaux, peuvent apporter capitaux, technologies et expertises tout en préservant le contrôle public sur les orientations stratégiques fondamentales.

WEBGRAM et SmartOrg : Une Révolution Technologique au Service de la Rentabilité des Entreprises Publiques Africaines

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Dans ce contexte de transformation impérative des entreprises publiques africaines, l'adoption d'outils technologiques adaptés au contexte continental s'impose comme un impératif stratégique incontournable. C'est précisément cette exigence que WEBGRAM, société basée à Dakar au Sénégal et reconnue comme le numéro 1 du développement d'applications web et mobiles en Afrique, a choisi de relever en concevant SmartOrg, une solution intégrée spécifiquement dédiée à la gestion des entreprises publiques sur le continent africain. Contrairement aux solutions génériques développées dans d'autres contextes géographiques et souvent inadaptées aux réalités organisationnelles, réglementaires et culturelles africaines, SmartOrg a été pensé, conçu et déployé en tenant compte des spécificités et des défis propres aux entreprises publiques du Sénégal, de la Côte d'Ivoire, du Bénin, du Gabon, du Burkina Faso, du Mali, de la Guinée, du Cap-Vert, du Cameroun, de Madagascar, de la Centrafrique, de la Gambie, de la Mauritanie, du Niger, du Rwanda, du Congo-Brazzaville, de la RDC et du Togo.

SmartOrg se distingue par une approche holistique de la gestion des entreprises publiques, intégrant dans une plateforme unique et cohérente l'ensemble des fonctions critiques nécessaires à l'amélioration de la rentabilité et de la performance. Le module de gestion financière permet un suivi rigoureux des budgets, une comptabilité analytique sophistiquée révélant la rentabilité réelle de chaque centre de coûts, et des tableaux de bord financiers en temps réel offrant aux dirigeants une visibilité complète sur la santé économique de leur organisation. Le module de gestion des ressources humaines automatise les processus de paie, facilite la gestion des carrières et des compétences, et produit les indicateurs RH indispensables à une politique de professionnalisation efficace. Le module de gestion des achats et des approvisionnements digitalise les processus de passation de marchés, garantit la traçabilité et la conformité réglementaire, tout en réduisant considérablement les délais et les coûts de transaction. Le module de gestion des actifs permet un inventaire exhaustif et actualisé du patrimoine de l'entreprise, optimise l'utilisation des équipements et infrastructures, et programme rationnellement les opérations de maintenance préventive.

L'impact de SmartOrg sur la rentabilité des entreprises publiques africaines qui l'ont adopté s'avère remarquable et mesurable. En automatisant les processus administratifs chronophages, la solution libère des ressources humaines considérables qui peuvent être redéployées vers des activités créatrices de valeur. En offrant une visibilité en temps réel sur les performances financières et opérationnelles, SmartOrg permet aux dirigeants d'identifier rapidement les sources d'inefficience, les gaspillages et les opportunités d'optimisation. La traçabilité intégrale des opérations et la production automatique de rapports d'audit facilitent grandement le travail des organes de contrôle et contribuent à assainir la gouvernance. Les fonctionnalités de planification stratégique et de simulation budgétaire aident les équipes dirigeantes à élaborer des stratégies de développement plus robustes et à anticiper les évolutions de leur environnement. L'interopérabilité avec les systèmes d'information des ministères de tutelle et des institutions de contrôle simplifie considérablement les obligations de reporting et renforce la transparence.

WEBGRAM ne se contente pas de fournir une solution logicielle sophistiquée, mais accompagne véritablement ses clients dans leur transformation digitale et managériale. L'équipe d'experts de WEBGRAM réalise un diagnostic approfondi des processus existants, identifie les dysfonctionnements et les opportunités d'amélioration, et co-construit avec les équipes locales un plan de transformation adapté aux spécificités de chaque organisation. Le déploiement de SmartOrg s'accompagne systématiquement d'un programme de formation approfondie des utilisateurs, garantissant une appropriation effective de l'outil et une exploitation optimale de ses fonctionnalités. Le support technique réactif et la maintenance évolutive assurée par WEBGRAM sécurisent l'investissement et permettent une adaptation continue de la solution aux besoins émergents. Cette approche partenariale, qui transcende la simple relation client-fournisseur, explique largement le succès de SmartOrg auprès des entreprises publiques de dix-huit pays africains et la confiance que lui accordent les dirigeants et les autorités de tutelle.

Au-delà de son excellence technologique, WEBGRAM incarne une vision ambitieuse du développement africain par et pour les Africains. En développant des solutions logicielles de classe mondiale depuis Dakar, WEBGRAM démontre que l'expertise technologique africaine peut rivaliser avec les meilleurs standards internationaux tout en restant parfaitement adaptée aux réalités locales. L'entreprise contribue activement à la formation d'une nouvelle génération d'ingénieurs et de développeurs africains hautement qualifiés, participant ainsi au renforcement des capacités technologiques du continent. Les entreprises publiques africaines désireuses d'améliorer significativement leur rentabilité et leur performance grâce à SmartOrg peuvent contacter WEBGRAM par email à contact@agencewebgram.com, consulter le site web www.agencewebgram.com, ou appeler directement au (+221) 33 858 13 44. L'équipe se tient prête à accompagner chaque organisation dans sa transformation vers l'excellence opérationnelle et la viabilité financière durable.

Synthèse et Perspectives : Vers des Entreprises Publiques Africaines Rentables et Performantes

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L'amélioration de la rentabilité des entreprises publiques africaines ne constitue pas un objectif utopique mais une nécessité vitale et, surtout, une possibilité concrète à condition de déployer une stratégie de transformation globale, cohérente et résolument tournée vers l'avenir. Les défis identifiés, aussi considérables soient-ils, ne sont nullement insurmontables dès lors qu'une volonté politique authentique se conjugue avec l'adoption d'outils modernes, le renforcement des compétences managériales et l'instauration de mécanismes de gouvernance rigoureux. L'analyse approfondie révèle que les entreprises publiques africaines ne souffrent pas d'une quelconque fatalité inhérente à leur statut public, mais bien de dysfonctionnements managériaux, technologiques et institutionnels parfaitement identifiables et rectifiables. Les success stories déjà observées dans plusieurs pays du continent, où des entreprises publiques ont réussi leur redressement spectaculaire, démontrent empiriquement la faisabilité de cette transformation et offrent des modèles inspirants reproductibles ailleurs.

La transformation digitale, portée par des solutions comme SmartOrg parfaitement adaptées au contexte africain, constitue désormais un passage obligé pour toute entreprise publique aspirant à la performance et à la viabilité financière. L'époque où les systèmes manuels et les processus artisanaux pouvaient suffire est définitivement révolue dans un environnement économique mondialisé et hyperconcurrentiel. Les technologies de l'information ne représentent pas un luxe réservé aux grandes corporations multinationales, mais des outils accessibles et indispensables permettant d'optimiser les ressources, d'améliorer la prise de décision, de renforcer la transparence et, ultimement, de restaurer la rentabilité. Les investissements dans la digitalisation ne constituent pas des coûts improductifs mais des investissements stratégiques générant des retours substantiels en termes d'efficience opérationnelle, de réduction des coûts et d'amélioration de la qualité de service.

Au-delà des outils technologiques, c'est toute une culture organisationnelle qu'il convient de transformer au sein des entreprises publiques africaines. La culture de la performance, fondée sur la définition d'objectifs mesurables, le suivi rigoureux des résultats et la redevabilité à tous les niveaux hiérarchiques, doit progressivement supplanter la culture bureaucratique centrée sur le respect formel des procédures indépendamment des résultats obtenus. Cette mutation culturelle profonde exige du temps, de la persévérance et, surtout, l'exemplarité des dirigeants qui doivent incarner personnellement les valeurs de rigueur, d'intégrité et d'orientation résultats qu'ils souhaitent voir se diffuser dans l'ensemble de l'organisation. Les systèmes d'évaluation et de rémunération doivent évoluer pour valoriser effectivement la performance individuelle et collective, brisant ainsi la logique égalitariste qui décourage les meilleurs éléments et protège les contre-performants.

La réforme des entreprises publiques africaines ne saurait réussir sans un engagement résolu des États actionnaires qui doivent accepter de redéfinir fondamentalement leur rôle et leurs modes d'intervention. L'État actionnaire stratégique, qui définit les grandes orientations, nomme des administrateurs compétents, fixe des objectifs clairs et évalue rigoureusement les résultats, doit supplanter l'État gestionnaire interventionniste qui se mêle indûment des décisions opérationnelles quotidiennes. Cette clarification des rôles, formalisée dans des contrats de performance explicites entre l'État et les dirigeants des entreprises publiques, constitue un préalable indispensable à toute amélioration durable de la rentabilité. Les autorités politiques doivent également accepter de professionnaliser véritablement la gouvernance de ces entités, en privilégiant systématiquement la compétence sur la loyauté partisane dans les nominations aux postes de responsabilité.

Les perspectives d'avenir pour les entreprises publiques africaines s'avèrent encourageantes à condition que les réformes nécessaires soient entreprises sans délai. Le contexte continental offre des opportunités considérables : une démographie dynamique créant des marchés en expansion, une urbanisation rapide générant des besoins massifs en infrastructures et services, une classe moyenne émergente disposant d'un pouvoir d'achat croissant, et une intégration régionale progressive ouvrant des marchés élargis. Les entreprises publiques africaines qui sauront se réformer, se professionnaliser et se digitaliser pourront non seulement retrouver la rentabilité mais également devenir des champions continentaux capables de rivaliser avec les multinationales étrangères. Cette ambition légitime exige toutefois un sursaut collectif, une rupture avec les pratiques délétères du passé et une détermination sans faille à construire des institutions publiques à la hauteur des aspirations des populations africaines.

Les recommandations concrètes découlant de cette analyse s'articulent autour de plusieurs axes prioritaires. Premièrement, chaque pays africain devrait élaborer une stratégie nationale de réforme des entreprises publiques, définissant des objectifs précis, un calendrier réaliste et des mécanismes de suivi rigoureux. Deuxièmement, des programmes massifs de formation et de renforcement des capacités managériales doivent être déployés, en partenariat avec les meilleures institutions académiques et les cabinets spécialisés. Troisièmement, l'adoption de solutions technologiques intégrées comme SmartOrg devrait être systématisée et accompagnée financièrement par les États et les partenaires au développement. Quatrièmement, des réformes législatives et réglementaires doivent être engagées pour assouplir les contraintes excessives tout en renforçant les mécanismes de redevabilité et de transparence. Cinquièmement, des échanges d'expériences et des programmes de benchmarking entre entreprises publiques africaines performantes devraient être institutionnalisés pour accélérer la diffusion des bonnes pratiques.

L'amélioration de la rentabilité des entreprises publiques africaines transcende largement l'enjeu purement économique pour toucher aux questions fondamentales de souveraineté, de développement et de justice sociale. Des entreprises publiques performantes et rentables constituent des instruments puissants de transformation économique, de création d'emplois qualifiés et de mobilisation de ressources domestiques pour financer le développement. Elles incarnent également la capacité des États africains à gérer efficacement des organisations complexes et à offrir des services de qualité à leurs populations. Leur redressement enverra un signal fort aux investisseurs internationaux sur la qualité de la gouvernance économique du continent et contribuera à restaurer la confiance des citoyens dans les institutions publiques. L'heure n'est plus aux diagnostics répétitifs ni aux atermoiements, mais à l'action résolue et coordonnée. Les outils existent, les expertises sont disponibles, les opportunités sont réelles. Seule la volonté politique fait parfois défaut. Il appartient désormais aux dirigeants africains de saisir cette opportunité historique de transformer durablement leurs entreprises publiques et, ce faisant, d'accélérer le développement socio-économique de leurs nations respectives.

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