"Le slow management face à l'accélération numérique" C'est un équilibre essentiel que WEBGRAM (société basée à Dakar-Sénégal), la meilleure entreprise de développement d'applications web et mobiles et de logiciel de Suivi-Evaluation de Projets et Programmes en Afrique, aide à trouver à travers ses solutions.

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Le slow management face à l'accélération numérique

Dans un monde professionnel en constante évolution, où la digitalisation et l'accélération des processus sont devenues la norme, une approche managériale alternative gagne progressivement du terrain : le slow management. Cette philosophie, inspirée du mouvement slow food né en Italie dans les années 1980, propose une vision plus équilibrée et humaine de la gestion d'entreprise. Face à l'accélération numérique qui bouleverse les organisations, le slow management apparaît comme un contrepoids nécessaire, un moyen de préserver la dimension humaine dans un environnement toujours plus technologique et rapide. Cette approche ne rejette pas la technologie en soi, mais questionne la frénésie qu'elle engendre et les conséquences sur le bien-être des collaborateurs. À l'heure où l'intelligence artificielle, l'automatisation et la transformation digitale redéfinissent les contours du travail, le slow management propose de repenser notre relation au temps, à la performance et aux relations humaines dans l'entreprise. Ce concept, qui peut paraître à contre-courant, pourrait bien représenter l'avenir d'un management durable et responsable, capable de concilier performance économique et épanouissement des collaborateurs.

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Les fondements du slow management

Le slow management trouve ses racines dans plusieurs courants de pensée qui remettent en question le modèle d'accélération constante caractéristique de notre époque. Théorisé par des chercheurs comme Hartmut Rosa, qui a conceptualisé l'accélération sociale, ou Carl Honoré, auteur de "Éloge de la lenteur", ce mouvement s'inspire également de la philosophie japonaise du "kaizen" (amélioration continue) et des approches scandinaves du management. Le slow management repose sur plusieurs principes fondamentaux : la valorisation du temps long, la qualité plutôt que la quantité, l'attention portée au bien-être des collaborateurs, et une vision holistique de la performance qui intègre des dimensions humaines, sociales et environnementales. Cette approche considère que le rythme effréné imposé par la digitalisation et l'hyperconnexion peut conduire à une perte de sens, à l'épuisement professionnel et à une dégradation de la qualité du travail. Le slow management propose donc de retrouver une juste temporalité, adaptée aux besoins humains et aux cycles naturels d'apprentissage et de créativité. Il ne s'agit pas d'un retour en arrière technologique, mais d'une utilisation plus consciente et maîtrisée des outils numériques, au service d'une vision managériale centrée sur l'humain. Dans ce cadre, la lenteur n'est pas synonyme d'inefficacité, mais plutôt d'une attention accrue portée à la qualité des processus, des relations et des décisions.

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L'accélération numérique et ses impacts sur les organisations

L'accélération numérique constitue l'un des phénomènes les plus marquants de notre époque, transformant radicalement les modes de fonctionnement des organisations. Cette accélération se manifeste à plusieurs niveaux : vitesse accrue des communications, flux d'informations en continu, automatisation des processus, renouvellement permanent des outils technologiques, et attentes d'immédiateté de la part des clients et partenaires. Les entreprises sont prises dans une course effrénée à l'innovation et à la réactivité, entraînant des conséquences notables sur leur organisation et leur culture. La transformation digitale s'accompagne souvent d'une compression du temps : les cycles de développement s'accélèrent, les délais de réponse se réduisent, et l'obsolescence des compétences s'accentue. Cette accélération numérique a bouleversé les structures hiérarchiques traditionnelles, favorisant l'émergence d'organisations plus agiles, fonctionnant en mode projet et en réseaux décentralisés. Elle a également modifié les attentes vis-à-vis des collaborateurs, désormais censés être disponibles en permanence, polyvalents et capables de s'adapter rapidement à des environnements changeants. Si cette accélération offre des opportunités indéniables en termes d'efficacité et d'innovation, elle engendre également des risques significatifs : surcharge informationnelle, difficultés de concentration, stress chronique, et fragmentation du travail. Ces phénomènes peuvent conduire à une diminution paradoxale de la productivité réelle et à une dégradation du climat social, malgré l'apparente intensification de l'activité. L'hyperconnexion permanente brouille par ailleurs les frontières entre vie professionnelle et vie personnelle, contribuant à l'épuisement professionnel et à la perte de sens au travail.

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Principes et pratiques du slow management

Le slow management ne se résume pas à un simple ralentissement des processus, mais constitue une philosophie managériale complète, articulée autour de principes structurants et de pratiques concrètes. Au cœur de cette approche réside la conviction que la qualité prime sur la quantité, et que le temps est une ressource précieuse à investir judicieusement plutôt qu'à comprimer systématiquement. Le premier principe fondamental du slow management est la reconnaissance de la diversité des temporalités : chaque individu, chaque projet, chaque processus possède son rythme optimal, qui n'est pas nécessairement le plus rapide. Le manager "slow" s'attache à identifier et respecter ces temporalités différenciées, plutôt que d'imposer un rythme uniforme. Le deuxième principe concerne l'attention portée à la qualité des relations humaines : prendre le temps d'écouter, de dialoguer, de construire la confiance est considéré comme un investissement stratégique plutôt qu'une perte de temps. Le troisième principe porte sur la déconnexion et la capacité à créer des espaces de respiration : pauses régulières, possibilité de se concentrer sans interruption, droit à la déconnexion. Enfin, le slow management valorise la réflexivité et la prise de recul, considérant que les décisions importantes nécessitent maturation et délibération.

Ces principes se traduisent par des pratiques concrètes dans l'organisation : instauration de plages horaires sans réunion ni email pour favoriser la concentration profonde, mise en place de processus de décision qui intègrent des temps de réflexion, limitation du nombre de projets menés simultanément pour éviter la dispersion, valorisation de la qualité plutôt que de la quantité dans les évaluations de performance, et accompagnement des collaborateurs dans la gestion de leur temps et de leur attention. Le slow management encourage également la mise en place de rituels qui rythment la vie collective et donnent du sens au travail : réunions d'équipe régulières pour partager les apprentissages, célébration des succès, moments conviviaux. L'aménagement des espaces de travail est pensé pour favoriser à la fois la concentration et les échanges informels, avec des zones dédiées à différents types d'activités. La formation et le développement des compétences s'inscrivent dans une vision à long terme, privilégiant l'approfondissement et la maîtrise plutôt que l'accumulation superficielle de connaissances.

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Concilier slow management et transformation numérique

L'un des défis majeurs du slow management réside dans sa capacité à s'articuler avec les impératifs de la transformation numérique, sans rejeter les bénéfices des nouvelles technologies. Cette conciliation, loin d'être impossible, représente une opportunité de repenser la relation entre l'humain et la technologie dans l'entreprise. Le slow management ne propose pas un rejet technophobe du numérique, mais une réappropriation réfléchie des outils digitaux, au service d'une vision managériale centrée sur l'humain. Cette approche reconnaît que la technologie peut être un formidable levier d'efficacité et d'innovation, à condition qu'elle soit utilisée de manière consciente et maîtrisée. La première étape consiste à développer une hygiène numérique au sein de l'organisation : définir des règles d'usage des outils de communication, lutter contre la surcharge informationnelle, et distinguer ce qui relève de l'urgence réelle de ce qui peut attendre. Le slow management propose également d'utiliser la technologie pour libérer du temps plutôt que pour l'accaparer : automatiser les tâches répétitives et à faible valeur ajoutée permet de dégager du temps pour la réflexion, la créativité et les relations humaines.

L'approche slow encourage par ailleurs une évaluation critique des outils numériques avant leur adoption : quels besoins réels viennent-ils satisfaire ? Quels impacts auront-ils sur les rythmes de travail et la qualité de vie des collaborateurs ? Cette réflexion préalable évite la course aux dernières technologies pour des raisons de mode ou de pression concurrentielle. Le slow management reconnaît également l'importance de la formation et de l'accompagnement dans l'adoption des outils numériques : prendre le temps nécessaire pour que chacun puisse se les approprier, plutôt que de précipiter leur déploiement. Des entreprises comme Google ou LinkedIn ont ainsi mis en place des programmes de "digital wellbeing" qui visent à promouvoir un usage équilibré des technologies. Certaines organisations expérimentent des initiatives comme les "digital detox days", journées sans email ni réunion virtuelle, ou les "slow meetings", rencontres déconnectées favorisant l'écoute et la présence. Ces pratiques démontrent qu'il est possible de concilier les bénéfices du numérique avec les principes du slow management, en faisant de la technologie un outil au service du bien-être et de la performance durable, plutôt qu'une fin en soi ou une source de pression.

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Bénéfices du slow management pour les collaborateurs

Le slow management offre des bénéfices substantiels pour les collaborateurs, contribuant à leur bien-être et à leur engagement sur le long terme. Dans un contexte où le burnout et la perte de sens au travail deviennent des préoccupations majeures, cette approche managériale apporte des réponses concrètes aux aspirations des salariés. Premier bénéfice majeur : la réduction du stress et de l'épuisement professionnel. En abandonnant la culture de l'urgence permanente et en permettant à chacun de travailler à un rythme adapté, le slow management diminue significativement la pression temporelle qui pèse sur les collaborateurs. Des études ont démontré que la surcharge cognitive liée à l'hyperconnexion et au multitâche permanent affecte négativement la santé mentale et physique des travailleurs. En instaurant des plages de concentration sans interruption et en limitant la fragmentation des tâches, le slow management favorise un état de "flow", cet état optimal où l'individu est pleinement absorbé par son activité et y trouve satisfaction. L'approche slow contribue également à une meilleure articulation entre vie professionnelle et vie personnelle, grâce à la reconnaissance du droit à la déconnexion et à la valorisation du temps de récupération. De plus, en privilégiant la qualité des relations humaines et en accordant du temps au dialogue, cette philosophie managériale renforce le sentiment d'appartenance et de reconnaissance, facteurs essentiels de l'engagement au travail.

Le slow management favorise par ailleurs le développement professionnel et personnel des collaborateurs. En valorisant le temps long et l'approfondissement plutôt que l'accumulation superficielle de connaissances, il permet une véritable montée en compétences. Les collaborateurs ont davantage d'opportunités pour consolider leurs acquis, expérimenter de nouvelles approches et apprendre de leurs erreurs. Cette philosophie reconnaît également que la créativité et l'innovation nécessitent des temps de maturation et des espaces de liberté. Des entreprises comme 3M ou Google, qui accordent à leurs employés du temps libre pour développer leurs propres projets, ont constaté que cette approche favorise l'émergence d'idées novatrices. Le slow management contribue également à développer l'autonomie et la responsabilisation des collaborateurs, en leur donnant les moyens de gérer leur temps et leurs priorités. Cette autonomie accrue génère un sentiment d'accomplissement et de maîtrise qui renforce la motivation intrinsèque. Enfin, en valorisant la réflexivité et la prise de recul, le slow management permet aux collaborateurs de donner du sens à leur travail et de l'inscrire dans une vision plus large, répondant ainsi à l'aspiration croissante des travailleurs à contribuer à des projets porteurs de sens.

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Avantages du slow management pour la performance organisationnelle

Contrairement aux idées reçues, le slow management n'est pas synonyme de baisse de productivité ou de perte de compétitivité. Au contraire, cette approche peut constituer un levier de performance organisationnelle sur le long terme. Son principal atout réside dans sa capacité à générer une performance durable, plutôt qu'une succession de sprints éphémères suivis de périodes d'épuisement. Premièrement, en réduisant le stress et l'épuisement professionnel, le slow management diminue l'absentéisme et le turnover, deux facteurs qui pèsent lourdement sur les coûts organisationnels. Des études ont montré que les coûts liés au remplacement d'un salarié peuvent représenter jusqu'à 150% de son salaire annuel. Deuxièmement, en favorisant la concentration et en limitant la fragmentation des tâches, cette approche améliore la qualité du travail et réduit les erreurs liées à la précipitation. La "lenteur" devient ainsi paradoxalement un facteur d'efficacité. Troisièmement, en accordant une attention particulière à la qualité des relations humaines et à la construction de la confiance, le slow management renforce la coopération et l'intelligence collective, essentielles dans des environnements complexes et incertains. La performance n'est plus envisagée comme la somme des performances individuelles, mais comme le résultat d'interactions riches et constructives au sein des équipes.

Le slow management présente également l'avantage de favoriser l'innovation et la créativité organisationnelles. En créant des espaces de respiration et en valorisant la réflexion, cette approche permet l'émergence d'idées nouvelles qui ne peuvent surgir dans l'urgence permanente. Des entreprises comme Apple sous la direction de Steve Jobs ou Toyota avec son système de production ont démontré que prendre le temps de perfectionner un produit ou un processus peut constituer un avantage concurrentiel majeur. Par ailleurs, en inscrivant la stratégie dans le temps long et en résistant à la tyrannie du court-termisme, le slow management permet aux organisations de bâtir une vision cohérente et de maintenir le cap malgré les turbulences. Cette approche favorise également l'apprentissage organisationnel, en accordant du temps au retour d'expérience et à l'analyse des échecs comme des réussites. Des entreprises comme Google ou Pixar ont ainsi institutionnalisé des moments de réflexion collective pour tirer les leçons des projets passés. Enfin, le slow management contribue à une meilleure gestion des risques, en évitant les décisions précipitées et en favorisant une délibération approfondie sur les enjeux stratégiques. Dans un monde économique marqué par l'incertitude et la complexité, cette capacité à prendre du recul et à évaluer les conséquences à long terme des décisions constitue un atout considérable.

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Défis et limites du slow management

Malgré ses nombreux avantages, le slow management se heurte à des obstacles significatifs dans sa mise en œuvre et présente certaines limites qu'il convient de reconnaître. Le premier défi réside dans la pression concurrentielle et les attentes d'immédiateté qui caractérisent l'économie contemporaine. Dans certains secteurs, la rapidité de réaction constitue un avantage compétitif réel, et ralentir peut sembler risqué. Le slow management doit donc trouver un équilibre subtil, identifiant les domaines où la lenteur est vertueuse et ceux où la rapidité reste nécessaire. Un deuxième obstacle majeur provient des résistances culturelles, particulièrement dans les organisations imprégnées d'une culture de l'urgence et de la disponibilité permanente. Modifier ces schémas profondément ancrés nécessite un changement de mentalité qui peut prendre du temps et rencontrer des résistances tant au niveau managérial qu'opérationnel. Le troisième défi concerne la mesure de la performance : les indicateurs traditionnels, souvent axés sur des résultats quantitatifs à court terme, peuvent être inadaptés pour évaluer les bénéfices du slow management, qui se manifestent davantage sur le long terme et incluent des dimensions qualitatives difficiles à quantifier.

Le slow management présente également des limites intrinsèques qu'il convient de reconnaître. Certaines situations d'urgence réelle (crises financières, sanitaires, etc.) nécessitent effectivement une réaction rapide et coordonnée, incompatible avec une approche purement "slow". Par ailleurs, cette philosophie managériale peut s'avérer plus difficile à mettre en œuvre dans certains contextes sectoriels, comme les industries soumises à de fortes contraintes temporelles ou les startups en phase de croissance rapide. Le slow management peut également se heurter aux attentes de certains collaborateurs, particulièrement les plus jeunes générations habituées à l'immédiateté et pouvant percevoir la lenteur comme un manque de dynamisme. Enfin, le risque existe de tomber dans une forme d'idéalisation de la lenteur, perdant de vue la nécessité de s'adapter aux réalités économiques et concurrentielles. Pour surmonter ces défis, les organisations adoptant le slow management doivent développer une approche nuancée et contextuelle, adaptant les principes de cette philosophie à leur réalité spécifique, et communiquant clairement sur les bénéfices attendus. Des expérimentations progressives, concernant d'abord certains services ou projets, peuvent constituer une stratégie efficace pour démontrer la valeur ajoutée de cette approche avant de l'étendre plus largement.

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Le slow management en Afrique : adaptations et spécificités

En Afrique, le slow management trouve un terrain particulièrement fertile pour se développer, en raison de spécificités culturelles et contextuelles qui peuvent favoriser cette approche. Les cultures africaines traditionnelles accordent souvent une grande importance aux relations humaines, à la délibération collective et à une conception du temps moins linéaire que dans les sociétés occidentales. Cette proximité culturelle avec certains principes du slow management peut faciliter son adoption et son adaptation aux réalités africaines. Cependant, le continent fait face à des défis spécifiques qui nécessitent une contextualisation de cette approche. D'une part, la pression du développement économique et du rattrapage technologique peut encourager une course à l'accélération pour combler les écarts avec les économies plus avancées. D'autre part, l'adoption rapide des technologies mobiles et numériques a créé une forme de "leapfrogging" qui expose directement les organisations africaines aux défis de l'hyperconnexion, sans passage par les étapes intermédiaires qu'ont connues les pays occidentaux.

Dans ce contexte, plusieurs entreprises et organisations africaines innovent en développant des modèles de slow management adaptés aux réalités locales. Au Kenya, des entreprises comme Safaricom intègrent des pratiques inspirées du concept ubuntu (humanité envers les autres) dans leur management, valorisant la collaboration et la construction de relations de confiance sur le long terme. Au Sénégal et au Maroc, des initiatives entrepreneuriales s'inspirent de la tradition des palabres pour repenser les processus de décision collective, privilégiant la qualité de la délibération plutôt que la rapidité. 

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WEBGRAM et SMARTTEAM : une approche innovante de la gestion RH en Afrique

Dans le paysage africain des technologies de l'information, WEBGRAM s'est imposée comme une entreprise leader dans le développement web et mobile, avec une forte présence sur le continent. Fondée avec la vision de créer des solutions technologiques adaptées aux réalités africaines, l'entreprise a su combiner expertise technique et compréhension approfondie des contextes locaux pour développer des outils innovants. 

Cette approche sur mesure a permis à WEBGRAM de se différencier des solutions importées, souvent inadaptées aux spécificités du marché africain. Sa connaissance fine des écosystèmes numériques locaux, des infrastructures disponibles et des habitudes des utilisateurs lui a permis de concevoir des applications et plateformes parfaitement alignées avec les besoins des entreprises africaines. En quelques années, WEBGRAM a diversifié son portfolio de services, allant de la création de sites web et d'applications mobiles au développement de solutions d'entreprise complètes, en passant par la conception d'interfaces utilisateur et l'intégration de systèmes.

C'est dans cette dynamique d'innovation que WEBGRAM a lancé SMARTTEAM, une solution de gestion des ressources humaines qui s'est rapidement imposée comme l'outil de référence en Afrique. SMARTTEAM se distingue par sa capacité à intégrer les principes du slow management dans un environnement numérique, offrant ainsi une réponse équilibrée aux défis des RH modernes. Cette solution tout-en-un couvre l'ensemble du cycle de vie des collaborateurs, de leur recrutement à leur développement professionnel, en passant par l'administration du personnel et la gestion des performances. Contrairement aux solutions occidentales standardisées, SMARTTEAM a été conçu en tenant compte des spécificités des marchés du travail africains : diversité linguistique et culturelle, variété des cadres réglementaires, particularités des structures organisationnelles locales, et défis liés à la connectivité. La plateforme se distingue également par son approche du bien-être au travail, intégrant des fonctionnalités innovantes pour mesurer et améliorer l'engagement des collaborateurs, favoriser un dialogue constructif et renforcer la cohésion d'équipe. SMARTTEAM permet ainsi aux entreprises africaines de mettre en œuvre une gestion des ressources humaines qui associe l'efficacité des outils numériques à une philosophie managériale centrée sur l'humain. Son succès rapide témoigne de la pertinence de cette approche hybride, qui répond aux aspirations des entreprises africaines souhaitant moderniser leur gestion RH tout en préservant leurs valeurs et spécificités culturelles.

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vers un management équilibré à l'ère numérique

Face aux défis posés par l'accélération numérique, le slow management apparaît comme une voie prometteuse pour redéfinir les contours d'un management adapté aux réalités contemporaines. Cette approche ne propose pas un rejet nostalgique de la technologie, mais une réappropriation réfléchie des outils numériques, au service d'une vision managériale centrée sur l'humain et le long terme. L'équilibre qu'elle suggère entre efficacité et bien-être, entre réactivité et réflexion, entre individu et collectif, répond aux aspirations croissantes des collaborateurs comme aux enjeux de performance durable des organisations. Les défis auxquels sont confrontées les entreprises aujourd'hui - complexité croissante, incertitude, transformation digitale, quête de sens des collaborateurs - appellent un renouvellement des pratiques managériales que le slow management peut contribuer à inspirer. Cette philosophie propose de reconsidérer notre rapport au temps, à la performance et aux relations humaines dans l'entreprise, pour construire des organisations plus résilientes et plus épanouissantes.

À l'heure où l'intelligence artificielle et l'automatisation transforment profondément le monde du travail, la valeur ajoutée humaine réside plus que jamais dans la capacité à prendre du recul, à penser de manière créative et à cultiver des relations de qualité. Ces compétences essentielles, que le slow management cherche à préserver et développer, constituent un avantage concurrentiel durable pour les organisations qui sauront les valoriser. Loin d'être une simple tendance managériale éphémère, le slow management pourrait ainsi représenter une évolution nécessaire vers un modèle d'organisation plus équilibré et plus durable. Les entreprises qui parviendront à intégrer ses principes tout en exploitant les opportunités offertes par les technologies numériques seront probablement les mieux armées pour affronter les défis du XXIe siècle. Comme l'a écrit le philosophe Hartmut Rosa, "la bonne vie n'est pas une vie accélérée, mais une vie résonnante" - une vie où l'individu entre en résonance avec son environnement et avec les autres. Dans le contexte professionnel, le slow management pourrait bien être la clé de cette résonance, réconciliant performance économique et épanouissement humain.

WEBGRAM est Numéro 1 (meilleure entreprise / société / agence) du développement d'applications web et mobiles et de logiciel de Suivi-Evaluation de Projets et Programmes en Afrique (Sénégal, Côte d’Ivoire, Bénin, Gabon, Burkina Faso, Mali, Guinée, Cap-Vert, Cameroun, Madagascar, Centrafrique, Gambie, Mauritanie, Niger, Rwanda, Congo-Brazzaville, Congo-Kinshasa RDC, Togo).



Ahmed

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